Mes rencontres à l’intérieur et en dehors du département du Cantal

Tout tatouage est le fruit d’une rencontre : celle d’une ou d’un tatoué·e avec sa on son tatoueur·se. Du tattoo, dont j’ai fait ma vie, j’ai retenu ce goût de l’autre et cette soif de partage – une règle que je continue de faire mienne, et dont j’expose les illustrations les plus marquantes sur ce blog.

 

Des rencontres avec des professionnels de tous secteurs

Ils travaillent dans la restauration et mettent un point d’honneur à conjuguer plaisir du palais et excellence. Ils œuvrent dans l’hébergement et doivent composer au gré des saisons et des événements. Ils sont artisans et exercent une activité manuelle à la seule force de leur imagination, de leurs matériaux et de leur savoir-faire. Ces professionnels de tous bords, je les croise dans le village de Chaudes-Aigues, dans le département du Cantal et ailleurs. Ces femmes et ces hommes travaillent en Auvergne, dans le Vaucluse, à Paris voire en dehors des frontières du pays. Ce sont ces rencontres, parfois inspirantes, souvent enrichissantes, que je relate dans cet espace.

 

Des échanges avec des élus du département du Cantal et d’ailleurs Leurs fonctions ?

Elles vont de maire à sénateur en passant par président de communauté de communes ou de conseil départemental, ou encore membre de conseils municipaux. Leur rôle est celui de la représentativité : chacun, à son échelle, se fait le porte-voix de ses administrés. Si j’ai eu et continue d’avoir l’occasion de rencontrer ces hommes et ces femmes, c’est pour mettre en lumière des questions touchant directement à la collectivité. Ces interrogations vont de la place et du statut du tatoueur professionnel dans la société, aux difficultés que tout habitant de la France rurale peut vivre. Parce que ces entretiens sont du domaine du collectif et non de l’individuel, je les raconte aussi méticuleusement que possible sur ce blog.

 

Des amitiés entretenues avec des acteurs du tatouage

Le tattoo a occupé plus de trois décennies de ma vie – et j’espère bien qu’il aura sa part dans les trente années à venir. D’une passion, j’ai fait mon métier ; et ce métier m’a amené à rencontrer quelques-uns des talents les plus spectaculaires de la discipline. Sur ce blog, je rends hommage à nombre d’entre eux. Certains se considèrent comme simples prestataires, d’autres revendiquent le titre d’artiste. Certains piquent sur le sol français, d’autres encrent en Italie, en Allemagne, aux États-Unis ou au Japon. J’ai la chance d’en compter beaucoup parmi mes amis.

 

Des tête-à-tête avec des anonymes

Loin des studios de tatouage, loin des mairies, il reste les dialogues avec les anonymes. Ceux qui n’ont pas voix au chapitre et qui, malheureux paradoxe, ont pourtant bien des choses à dire. Ils sont retraités ou font leurs premiers pas dans la vie active. Ils sont Cantaliens ou vivent outre-Atlantique. Ils sont croisés tous les jours ou à une occasion unique. S’ils figurent sur ce blog, c’est qu’ils partagent quelque chose en commun : un discours inspirant, une envie de faire passer un message. C’est avec la plus grande fidélité possible que je m’attèle à cette tâche.

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