De Stephane à Chaudes-Aigues, la source des racines

À l’âge de 7 ans, devant un reportage télévisé sur Chaudes-Aigues, je me souviens m’être interrogé sur le lien entre mon nom et ce village du Cantal.

Plus tard, à 22 ans, après avoir visité le Cantal et être tombé sous le charme de ce village, je me suis offert un arbre généalogique grâce auquel j’ai découvert que mes racines plongeaient bien vers le Cantal.

 

Au début du XVIIe siècle, un de mes aïeux, Jean-Étienne Chaudesaigues, était garde-chasse de la forêt royale à Fridefont, bourg perché à une quinzaine de kilomètres de Chaudes-Aigues.

J’ai découvert également l’existence de l’arrière-petit-fils de Jean-Étienne, un certain Eusèbe, créateur au XIXe siècle d’un prix d’architecture à l’école des Beaux-Arts de Paris.

C’est en hommage à Eusèbe et à son Prix Chaudesaigues que j’ai voulu créer en 2012 le Chaudesaigues Award.

Stéphane et Chaudes-Aigues, le lien est fait.

C’est pourquoi j’ai décidé de revenir au pays de mes ancêtres, le village de Chaudes-Aigues, dans le Cantal.