Le Cézanne Tattoo Ink 2015, c’était comment ?

Et de deux ! Comme en 2014, l’ami Pitou, tatoueur dont l’accent ne laisse aucun doute sur ses origines sudistes, a investi le Pasino d’Aix-en-Provence pour livrer la deuxième convention de tatouage de l’histoire de la ville. Aux côtés de Thierry, l’encreur encré a, en pleine Coupe du monde de rugby, transformé l’essai. Organisation maîtrisée, ambiance au beau fixe, plateau de tatoueurs à tomber : tous les ingrédients étaient réunis pour faire du Cézanne Tattoo Ink 2015, un beau et franc succès. Le ton est donné : entre le Cézanne Tattoo Ink et le Cantal Ink, la nouvelle dynamique injectée au tattoo français semble parée pour l’année.

Richie Bull et Megan Massacre

J’avais eu la chance d’être nommé parrain de la première édition de l’événement. Cette année, le flambeau est passé à l’Américain Richie Bull, que sont venus soutenir la superstar Megan Massacre et un plateau absolument exceptionnel de tatoueuses et tatoueurs venus des Etats-Unis et de France, mais aussi d’Italie, d’Espagne, de Russie ou encore de Finlande.

Un plateau international de tatoueurs

Autour de Steven Chaudesaigues, Pierre-Gilles Romieu, Barbara Rosendo et moi-même, membres des studios Graphicaderme et de La Bête Humaine à Paris, on a pu croiser des noms comme :

- Matteo Pasqualin

- Noa Yannì

- Jari Kajaste

- Darnell Waine

- Thomas Carli Jarlier

- la famille Duquenne

- la famille Belkadi

- la famille Moktar

- Tiki Tattoo

Leur point commun ? Ils reviendront tous en France en été prochain pour l’édition 2016 du Cantal Ink…

En dépit d’un Pasino pas toujours à la hauteur de l’événement, force est de constater que les amis Pitou et Thierry ont, pour la deuxième année consécutive, frappé un coup de maître dans le paysage du tattoo contemporain. Aujourd’hui, je suis fier de compter parmi leurs amis, et fier d’être aux premières loges de ce renouveau du tatouage français avec le Cantal Ink.