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Et bien Def Lep, pour mes raisons je continue mon petit bonhomme de chemin, tu as pu le comprendre je  ne vais pas céder aux caprices d’un tyran en herbe.

Je ne reviens pas sur le travail de Tin-tin car malgré le respect que je porte à son travail pour une période, ce n’est pas le fond de mon post.

Je n’aime pas ses méthodes, pour les avoir subis !

Il est question de notre métier, et de la façon dont le président du SNAT « Tin-tin » nous représente.

Le temps m’a appris à déchiffrer certains codes et je reviendrais plus tard sur sa volonté de nous asservir à une cause, qui nous dépasse presque tous.

On ne peut pas appliquer les règles du milieu, au tatouage, cela ne doit plus être possible en 2014, pas à une période où il est question justement de quitter le carcan de la marginalité, dans son côté le plus obscure.

J’ai pu mettre de côté son comportement ignoble, celui qu’il a eu à mon égard en 89, pour le rejoindre devant le ministère en 2005 et lui apporter mon soutien, face aux administrations, afin d’afficher une forme de solidarité pour la cause et la profession.

Sans rien en attendre je l’ai vu toutes ces années, manipuler le petit monde du tattoo en jouant de l’intimidation, des coudes et des représailles possibles, sur son entourage tout d’abord et les réseaux sociaux dans une forme de continuité et surtout d’impunité.

J’arrive tout simplement à boucler presque trente ans de carrière, et surtout à l’aboutissement de mon ouvrage.

Ma vie, mon combat.

Bien sur le « camarade » Tin-tin n’occupe qu’une petite place dans ce parcours, mais il a la sienne.

Tu ne vas pas me reprocher d’avoir écrit un bouquin ?

Suite au problème des encres et le buzz lamentable sur les réseaux sociaux,  un producteur nous a suivi, et a eu la volonté de faire un réel travail de fond sur les coulisses du tatouage français.

L’intervention du premier tatoueur de France, un zoom sur 50 ans d’histoire et le marché que  peut encore représenter le tatouage pour la pègre.

Il ne suffit pas de dire que le tatouage à grandit, il faut le prouver et changer certaines vieilles habitudes.

Le tatouage ne nous appartient pas, rassure toi, et si nos devions perdre des clients et bien nous deviendrions peut être des artistes J

Pour ma part, je suis mon chemin comme toujours, mais à mon rythme bien sur.

Rassure toi, le TATOUAGE ne pourra que s’en sortir grandit.

 

 

 

 

 

 

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