Tatouage boxe : de la photographie au dessin jusqu’à la peau

J’aime le tatouage, et j’aime la boxe. Avec une préférence pour l’anglaise ; un peu comme pour les chaussures et les smoking jackets. Celui-là n’est pas terminé : on doit piquer, après la cicatrisation, les tatouages que notre boxeur arborera avec fierté. Sans doute avec du bleu directement, pour renforcer le côté "old tattoo".

Nous devions partir en prenant comme référence une illustration de mon ami Kalil. J’étais enchanté de travailler sur l’une de ses œuvres, d’autant qu’elle s’était presque imposée à mon client, tellement elle trône en bonne place au studio de tatouage de Chaudes-Aigues.

Et puis, chemin faisant, l’idée de faire notre propre image sur Clément, mon client, a pris le pas. J’aime beaucoup le traitement de ces images réalistes au départ, que l’on peut structurer à souhait en lignes de contour bien grasses.

Je pense aussi que c’est la meilleure façon de spéculer sur le vieillissement des tatouages. Mais nous aurons bien l’occasion d’en reparler…